まいにちフランス語Le début du succès des designers japonais en France,c’est le début des années 80,à peu près...
Non,c’est un peu plu tôt.
Un peu plu tôt?
...Oui,c’est un peu plu tôt.
Si on parle du Japon,je reviens à l’histoire ancienne puisque je suis un ancien,né dans la première moitié du 20e siècle.
Le Japon avec l’ère Meiji a commerncé par copier l’Europe,les États-Unis...enfin,tout ce qui était étranger a été copié avec plus ou moins de bonheur,dans tous les domaines.
Que ce soit l’architecture,la peinture,la musique,et y compris l’habillement.
Et 1971 c’est peut-être le passage où le Japon a comment ça s’appelle,« digéré »une partie de l’apport de l’Occident.
D’accord.
Et a commencé à être capable...
À créer...
À créer des choses originales. Voilà.
Mori Hanae c’était une pionnière,c’est une des premières qui aient fait,enfin elle était vraiment « haute couture parisienne ».
Et donc elle a intégré les codes et les systèmes de la haute couture française,et elle était dedans,point.
Et à partir de 1972-1973,1974 donc à ce moment-là,on a le Japon qui crée,et on a à ce moment-là des gens comme Issey Miyake,et puis après,il y a Yamamoto Yoji,COMME des GARÇONS,Kawakubo Rei,Kenzo,qui est à Paris mais qui a crée beaucoup de choses,on l’oublie puisqu’il est à cheval entre les deux,et puis après il y eb a d’autres,il y a Yamamoto Kansai aussi,qui a refait,qui a repris une parite de la culture japonaise,qui pour moi est extrê intéressante,et qui devrait de nouveau servir de base à relancer l’actibité au Japon,C’est la partie Azuchi-Momoyama,le Kabuki,le Nô...le...toute cette partie voyante,voyante,très brillante,très colorée
Et très particulière...
Mais c’est l’un rares pays où il peut avoir des choses aussi colorées,aussi violentres,aussi disparates,et qui donnent quand même une certain harmonie.
Il y a peu de cultures qui arrivent à faire ça de façon agréable