絶対の探求 (H. de Balzac)」 (2)
Les mains de cette femme, rejetées par les bras de la bergère, pendaient en dehors, et la tête, comme trop lourde, reposait sur le dossier. Une robe de percale blanche très ample empêchait de bien juger les proportions, et le corsage était dissimulé sous les plis d’une écharpe croisée sur la poitrine et négligemment nouée.
Quand même la lumière n’aurait pas mis en relief son visage qu’elle semblait se complaire à produire préférablement au reste de sa personne, il eût été impossible de ne pas s’en occuper alors exclusivement ; son expression, qui eût frappé le plus insouciant des enfants, était une stupéfaction persistante et froide, malgré quelques larmes brûlantes.
Rien n’est plus terrible à voir que cette douleur extrême dont le débordement n’a lieu qu’à de rares intervalles, mais qui restait sur ce visage comme une lave figée autour du volcan. On eût dit une mère mourante obligée de laisser ses enfants dans un abîme de misères, sans pouvoir leur léguer aucune protection humaine.
肘掛に置かれた両の手は椅子の両脇に垂れさがり、頭はその重みに耐えかねるかのように背もたれに預けられていた。percale 織りのたっぷりとした白い衣装のせいで女の身体の均整はうかがえなかった。胸元で無造作に結わえられた肩掛けの襞が上体を包み隠している。
彼女は身体の他の部分よりも、首から上を観察されることを好んでいるようであったが、その頭部を夕陽が浮き彫りにしていた。そうでなかったとしても、彼女の表情から目をそらすことは不可能だったであろう。なんの心配事もない子どもでさえも、その呆然自失した表情には打たれたに違いない。幾筋かの燃えるような涙も、表情の強張り凍りついたような印象を和らげることはなかった。
表出されることが殆どないこの極限の苦痛を見ること以上に恐ろしいものはない。あふれてしまったそれは固まった溶岩のように顔の表面に貼りついて剥がれない。ひとは、わが子を悲惨さ (貧困 ?) の深い淵に置き去りに、それを救う何らの手段も残してやれないまま死に臨んでいる母親だというかもしれない。