我先走了。
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● L'ancien ministre de l'Intérieur Charles Pasqua est décédé 29 Juin 2015
L'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua, est décédé ce lundi à l'âge de 88 ans des suites(おや!) d'un accident cardiaque. La nouvelle a été confirmée par sa famille dans un communiqué : «Il s’est éteint(死に絶えた) à l’hôpital Foch de Suresnes dans les Hauts-de-Seine, département où il résidait».
Selon, Patrick Balkany, il avait été hospitalisé dimanche à la suite(あれ?)
d'un léger malaise.
Ancien Premier flic(警官) de France
Personnage complexe, qui ne faisait pas dans la nuance, Charles Pasqua a été un des ministres de l'Intérieur les plus populaires(人気があった!) et aussi l'un des plus controversés. Affaibli, notamment depuis la disparition de son fils, l'ex-sénateur des Hauts-de-Seine avait mis un terme en 2011 à sa carrière politique, marquée par une part d'ombre liée à ses activités au sein de services d'ordre parallèles, ses réseaux africains et ses démêlés(pl. もめごと、いざこざ) judiciaires.
Une carrière chez Pernod-Ricard
Tour à tour mentor de Jacques Chirac puis de Nicolas Sarkozy, il était apparu la dernière fois en public le 30 mai pour le congrès fondateur des Républicains(共和派設立会議). Peu avant il était aussi apparu devant la cour d'appel de Versailles. Deux ans de prison avec sursis avaient été requis contre lui dans le cadre de l’affaire de la fondation d’art Hamon(アモン美術基金事件), le point d'orgue(フェルマータ、長い休止) de quinze ans de ses déboires(失望) judiciaires.
Né le 18 avril 1927 à Grasse (Alpes-Maritimes), Charles Pasqua, petit-fils de berger corse, s'était engagé à 16 ans dans la résistance et, gaulliste convaincu, il avait adhéré dès 1947 au Rassemblement du peuple français (RPF). Il avait fait carrière dans la société Pernod-Ricard(ぺルノー・リカ―ル協会).
Chirac «trahi» pour Sarkozy
Pièce maîtresse de l'équipe de Jacques Chirac dans les années 80, M. Pasqua était devenu ministre de l'Intérieur en 1986-1988 dans le gouvernement de cohabitation de Jacques Chirac. Il avait à nouveau occupé cette fonction avec rang(列) de ministre d'Etat en 1993-1995 dans le gouvernement d'Edouard Balladur, qu'il avait d'ailleurs préféré à M. Chirac lors de la présidentielle de 1995.
1986-88 内務大臣(シラク保革共存政権)
1993-95 国務大臣とあるが内務大臣のことか(バラデュール政権)
1995 シラクとパスクワの仲たがい
<表現> 2人は ~ に関して激しく仲たがいをしたままで、決して仲直りしなかった。
Les blessures, liées à ~ mais surtout à ~, étaient restées vives entre les deux hommes.
Jacques et Charles ne s'étaient jamais réconciliés.
Les blessures(傷), liées à l'Europe mais surtout à la «trahison» de 1995, étaient restées vives entre les deux hommes et Jacques Chirac et Charles Pasqua ne s'étaient jamais réconciliés. Au point que M. Pasqua avait même publiquement mis en cause son ancien mentor lors d'une conférence de presse.
Parrain du département des Hauts-de-Seine
Pilier des Hauts-de-Seine, département qu'il a présidé de 1973 à 1976 et de 1988 à 2004, ancien député et ancien sénateur, il s'était fait souffler la mairie de Neuilly-sur-Seine en 1983 par un jeune et ambitieux Nicolas Sarkozy, dont il avait contribué à l'ascension et dont il était redevenu proche par la suite.
Il avait claqué la porte du RPR en 1999 pour fonder et présider un temps le Rassemblement pour la France (RPF), parti souverainiste, à la tête duquel, associé avec Philippe de Villiers(フィリップ・ド・ヴィリエ?), il avait fait un meilleur score(華々しい勝利を得る) que la liste RPR-DL de Nicolas Sarkozy.
La mort de Malik Oussekine(マリ・ウセキネというデモをしていた学生の死)
Connu pour ses formules choc -«Il faut terroriser les terroristes» avait-il lancé place Beauvau- il restera lié aussi au Service d'action civique (SAC:市民活動サービス), sorte de police secrète(秘密警察の一種) créée à la fin des années 1950 et à une législation restreignant le droit d'asile(亡命権を抑制する法制) en juin 1993. Son nom est aussi associé à la mort, en 1986, d'un jeune homme d'origine marocaine, Malik Oussekine, décédé sous les coups de la police à Paris pendant une manifestation étudiante contre la loi Devaquet(ドゥヴァケ法) pendant qu'il était ministre de l'Intérieur.
Mis en cause dans une dizaine d'affaires いくつもの事件に関係していた!
Cité dans près d'une dizaine d'affaires (financement politique(警察財政), vente d'armes à l'Angola(アンゴラへの武器輸出)), il avait été condamné définitivement en 2010 dans deux dossiers: à 18 mois de prison avec sursis pour le financement illégal de sa campagne européenne de 1999, via la vente du casino d'Annemasse (Haute-Savoie), et à un an avec sursis par la Cour de justice de la République (CJR) dans l'affaire des détournements de fonds au préjudice de la Sofremi (exportation de matériel de sécurité).
つづく 翌日・・・6月28日の日記場面 ^^
アジサイの花シリーズ、いつも楽しませてもらっています ^^