久しぶりに「絶対の探求 (La Recherche de l'Abosolu, H. de Balzac, 未だ写経は終っていない)」の和訳。
文中の Marguerite は、noble (気高き) Joséphine de Temninck Claës と罰当たりの Balthazar Claës の、やはり noble で、courageuse (健気で)、pleine d'affection (情愛に富んだ) 長女。Félicie はその妹。Pierquin は Claës と遠縁の公証人で、立身の手段として Claës 家の娘との結婚を望んでいる。M. は P. の意図を見抜いており、彼に対して冷淡である。
Quoique Pierquin appartînt à cette classe d’hommes qui dans le mariage voient des obligations, l’exécution des lois sociales et un mode pour la transmission des propriétés ; qu’il lui fût indifférent d’épouser ou Félicie ou Marguerite, si l’une ou l’autre avaient le même nom et la même dot ; il s’aperçut néanmoins que toutes deux étaient, suivant une de ses expressions, des filles romanesques et sentimentales, deux adjectifs que les gens sans coeur emploient pour se moquer des dons que la nature sème d’une main parcimonieuse à travers les sillons de l’humanité, le notaire se dit sans doute qu’il fallait hurler avec les loups ; et, le lendemain, il vint voir Marguerite, il l’emmena mystérieusement dans le petit jardin, et se mit à parler sentiment, puisque c’était une des clauses du contrat primitif qui devait précéder, dans les lois du monde, le contrat notarié.
ピエルカンは結婚を義務であり、社会の掟の遂行であり、財産の譲渡の一形式と考えるような男たちの一人であった。だから、クラースという名を背負っていて、持参金の額が同じであれば、マルグリットだろうとフェリシーだろうと、結婚の相手としてはどちらでもよかった。P. の認識では M. も F. もロマネスクで感傷的な娘であった。心情というものを持たない人間なら、自分には理解できない資質、吝嗇な自然が滅多に貸与しないかの資質、を嘲るために使うであろう形容句ではある。この男は多分、狼の群れに交わるには一緒に吠えるしかないという俚諺を思い浮かべたのであろう、翌朝、M. のもとを訪れると、秘密めかした態度で彼女を中庭へ連れ出すと、自分の恋愛感情を感傷的に語り始めた (se mit à parler sentiment)。というのも、そうすることが、世間の常識に従えば、結婚証書の作成に先行すべき contrat primitif (全ての契約の基となる契約) の条項の一つだったからである。